En la ratifiant, la Guinée permet à la convention Médicrime d’entrer en vigueur. Ce n’est qu’à la ratification par cinq États, dont au moins trois membres du Conseil de l’Europe, que cette entrée en vigueur pouvait avoir lieu.
C’est désormais chose faite, malgré le fait que la France ne l’a pas encore ratifié.
Plus connu sous le nom de convention Médicrime, cet instrument pénal international vise à lutter plus efficacement et de manière concertée contre le trafic de faux médicaments.
Compte tenu de la gravité des menaces induites par la contrefaçon de médicaments, il était important que cette convention entre en vigueur le plus rapidement possible. Ce nouvel outil au service des États va apporter des outils considérables pour lutter contre les organisations criminelles internationales qui se jouent de la santé des personnes les plus vulnérables. Je ne peux que m’en réjouir.